Anecdotes

NOS
ANECDOTES

Histoires, souvenirs et moments marquants de nos diplômés

«Quand je suis arrivé à Moscou, j'étais impressionné par le métro : immense, orné de marbres et de mosaïques. Mais ce qui m'a marqué, c'est qu'on pouvait voyager sous terre pendant des kilomètres sans jamais voir la lumière du jour. Au Sénégal, je n'avais jamais imaginé qu'un simple trajet puisse ressembler à une visite de musée.»

Abdoulaye Sène

«La première fois que j'ai vu la neige, j'ai voulu la toucher avec mes mains nues. Je ne savais pas que ça brûlait presque comme du feu... j'ai lâché un cri, et mes camarades russes ont éclaté de rire.»

Abdoulaye Sène

«À l'époque, nous étions peu de Sénégalais dans ma ville universitaire. On s'était vite reconnus, et chaque samedi on se retrouvait pour cuisiner ensemble. On improvisait du thiéboudienne avec les ingrédients qu'on trouvait : parfois du poisson séché, parfois juste du chou et du riz. Le goût n'était jamais vraiment celui de Dakar, mais l'odeur suffisait à nous ramener à la maison. Ces moments m'ont sauvé du mal du pays. Aujourd'hui encore, je repense à ces repas comme à un trésor partagé.»

Abdoulaye Sène

«Un jour d'hiver, je suis sorti avec mes chaussures en cuir de Dakar. Après deux pas sur la glace, j'étais déjà par terre. Ce jour-là, j'ai appris qu'il fallait des bottes spéciales... et une bonne dose d'équilibre !»

Abdoulaye Sène

«L'hiver de 1985 a été le plus rude que j'aie connu. La température descendait en dessous de −20°C. Un matin, j'ai mis mon linge à sécher dehors, comme au pays... Il a gelé en quelques minutes, dur comme du carton. J'ai dû casser mes chaussettes pour les ramener à l'intérieur ! Je n'ai plus jamais oublié que là-bas, même les gestes les plus simples devaient s'adapter au climat. L'hiver de 1985 a été le plus rude que j'aie connu. La température descendait en dessous de −20°C. Un matin, j'ai mis mon linge à sécher dehors, comme au pays... Il a gelé en quelques minutes.»

Abdoulaye Sène

«Un jour d'hiver, je suis sorti avec mes chaussures en cuir de Dakar. Après deux pas sur la glace, j'étais déjà par terre. Ce jour-là, j'ai appris qu'il fallait des bottes spéciales... et une bonne dose d'équilibre !»

Abdoulaye Sène

«Ce qui m'a le plus marqué, ce sont les amitiés inattendues. Mon meilleur ami à l'université était un étudiant russe passionné de musique africaine. Il connaissait des paroles de Youssou N'Dour mieux que moi ! Grâce à lui, j'ai découvert la patience des Russes pour apprendre notre culture, et j'ai aussi appris à aimer leur folklore.»

Abdoulaye Sène